La lumière, le son et le déséquilibre trouvent toujours leur place dans cette polyphonie qui façonne une narration virtuose et onirique, déploie des trésors d’ingéniosité matérielle, des ressources physiques proches du sublime.
La lumière, le son et le déséquilibre trouvent toujours leur place dans cette polyphonie qui façonne une narration virtuose et onirique, déploie des trésors d’ingéniosité matérielle, des ressources physiques proches du sublime.